Laboratoire de recherche des monuments historiques
LRMH
Installé dans les communs du château de Champs-sur-Marne, le Laboratoire de recherche des monuments historiques est aujourd’hui un service à compétence nationale du ministère de la culture et de la communication (Direction générale des patrimoines).
Sa mission est d’apporter une assistance scientifique et technique aux travaux de conservation et de restauration des monuments historiques, qu’ils soient des édifices, de grands ensembles ornementaux ou des objets mobiliers. Il répond à cette mission fondamentale, à la fois par les orientations scientifiques qu’il apporte aux maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre des travaux (contrôle scientifique et technique de l’Etat), par les études scientifiques qu’il mène sur les monuments appartenant à l’Etat et sur certaines œuvres majeures et par la recherche qu’il développe sur la conservation du patrimoine. C’est cette activité de recherche qui justifie son association à l’USR 3224.
L’activité de recherche du LRMH suit trois thématiques principales : la connaissance des matériaux constitutifs des œuvres patrimoniales et de leurs mécanismes d’altération, l’optimisation ou l’évaluation des techniques et produits de la conservation et de la restauration, et enfin le développement de nouvelles instrumentations scientifiques, les moins invasives possibles et souvent utilisables sur le terrain.
Le LRMH est une équipe de 34 agents, dont 23 scientifiques, organisée en 8 pôles thématiques dédiés à la recherche sur des matériaux ou des types d’œuvres : bois, béton, grottes ornées, métal, peintures murales et polychromie, pierre, textiles, vitrail. Un pôle transversal sur les questions d’altérations biologiques complète le dispositif. Les scientifiques affectés à ces pôles sont physiciens, chimistes, biochimistes ou ingénieurs matériaux. Après leur formation universitaire, ils ont acquis au LRMH une spécialité pointue et une grande expérience dans le domaine de la conservation des matériaux du patrimoine, devenant ainsi ce que l’on appelle en anglais des « conservation scientists », au service des responsables du patrimoine.
http://www.lrmh.fr/
Sa mission est d’apporter une assistance scientifique et technique aux travaux de conservation et de restauration des monuments historiques, qu’ils soient des édifices, de grands ensembles ornementaux ou des objets mobiliers. Il répond à cette mission fondamentale, à la fois par les orientations scientifiques qu’il apporte aux maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre des travaux (contrôle scientifique et technique de l’Etat), par les études scientifiques qu’il mène sur les monuments appartenant à l’Etat et sur certaines œuvres majeures et par la recherche qu’il développe sur la conservation du patrimoine. C’est cette activité de recherche qui justifie son association à l’USR 3224.
L’activité de recherche du LRMH suit trois thématiques principales : la connaissance des matériaux constitutifs des œuvres patrimoniales et de leurs mécanismes d’altération, l’optimisation ou l’évaluation des techniques et produits de la conservation et de la restauration, et enfin le développement de nouvelles instrumentations scientifiques, les moins invasives possibles et souvent utilisables sur le terrain.
Le LRMH est une équipe de 34 agents, dont 23 scientifiques, organisée en 8 pôles thématiques dédiés à la recherche sur des matériaux ou des types d’œuvres : bois, béton, grottes ornées, métal, peintures murales et polychromie, pierre, textiles, vitrail. Un pôle transversal sur les questions d’altérations biologiques complète le dispositif. Les scientifiques affectés à ces pôles sont physiciens, chimistes, biochimistes ou ingénieurs matériaux. Après leur formation universitaire, ils ont acquis au LRMH une spécialité pointue et une grande expérience dans le domaine de la conservation des matériaux du patrimoine, devenant ainsi ce que l’on appelle en anglais des « conservation scientists », au service des responsables du patrimoine.
http://www.lrmh.fr/