

L’exsudation des plastifiants est l’une des altérations les plus communes affectant les objets patrimoniaux en PVC souple.
La possibilité d’appliquer des couches de protection susceptibles de ralentir ou d’empêcher ce phénomène a fait l’objet d’une recherche dans le cadre de la thèse Eco-PVC menée par Mathilde Larrieu, doctorante soutenue par la Fondation des sciences du patrimoine.
Les différentes communications de la matinée, qui impliqueront également industriels et responsables de collections, permettront de présenter les résultats de cette recherche académique tout en s’interrogeant sur les possibilités d’application concrète par des conservateurs-restaurateurs dans le cadre de leur activité.
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